La vie est un combat contre ces emmerdes
Qui gravitent sur nous quand l'esprit se perd
On reste comme un con écoutant les verbes
D'une vie qui t’oppresse pour un foutu concert
À jamais délaissé les plus faibles sortent
De ce monde d'actifs où le travail porte
De ces croissances pour payer nos dettes
On peut faire un constat sur les gens qui perdent
Finissant à genoux priant notre père
Qu'un miracle ou un don du ciel exacerbe
Cette vie où le stress broie dans l'étau qui serre
À chaque fois j'essaie mais mon âme morte
Hésitant et captif de ce que j'exhorte
Sans choix, j'ai la chance de l'aimer ma tête