croyances nouvelles

2005, depuis le nouvel an de cette année là, je suis atteind d'accouphènes verbales.

La vie s'est ouverte à moi sans que je ne sache m'ouvrir envers elle, j'étais à l'époque employé dans une association sportive. Rapidement, je me refermais sur moi même, je perdais le contact avec la réalité.

Dans mes souvenirs, je percevais les échos d'une vie que stupidement je fuyais, je n'arrivais pas et encore aujourd'hui, à exterieuriser ma personnalité, je suis timide, c'est l'aviron ce sport qui m'a construit et qui m'a ouvert à autrui.

Mais au fond, je ne suis pas stable, mon raisonnement cognitif étant plutôt aléatoire et imaginatif, je suis coincé dans ma bulle, et je ne sais comment l'éclater pour me construire une personnalité ouverte.

Les hallucinations auditives sont calmées maintenant par un médicament, elles ont été très pénible à supporter, leur volume sonore était si fort que cela me perturbait dans les discutions avec les autres.

J'étais depuis jeune assez peu croyant, les idéologies existantes m'ont toujours fascinés mais j'en trouve des préceptes encore trop conservatiste, et depuis que j'ouïs les voix de la vie, j'entends parler de l'avènement de ma personne, il se peut que ces illuminations ont altéré ma vision des choses.

Je suis depuis plus ouvert à un monde au delà de la vie, qui la protège ou non au fil des destins de chacuns. La vérité est ailleurs disait chris carter. Ces drôles de perceptions ont euent de loins mon attention, malgré qu'elles étaient contradictoires, ce qui m'a permis de ne plus être voué à croire mots pour mots de ce que j'entendais.

Comme une libérations de comprendre la propagande bien rodée des anges et démons qui s'affrontent en attendant l'avènement attendu d'un antéchriste qui régulera les conflits mondiaux d'un réalsocialisme devenu obligatoire au vue d'un capitalisme dévorant et peu fiable.

Entrevoir un meilleur libéralisme est utopique, donc je garde l'idée rose 

j'ai toujours comme une répultion envers l'opinion générale : elle se complaind dans une ambiance surmédiatisé où c'est le journalisme qui devient la lumière pour suivre l'actualité étatique.

Je suis un pion qui attend son tour, l'échiquier est vaste, du coup je prends mon temps. Je laisse les plus acharnés se battre pour les miètes de cette mondialisation qui dégonffle.

La suite se tassera dans les journaux télévisés, et on continuera d'accepter d'être heureux comme ça...