Michel, Petit poète à la croisé des chemins. Et si le messie était immortel...
Les cris, banalité qui devient l'amusant, L'écrit d'actualité d'un quotidien usant Presse d'inquisition qui prévient les rusants, Pressant l'inclinaison de média médusant. Grâce au satirisme et ses vannes fusant, Garce d'un scinisme qui retient l'accusant....
Nous cèdons aux drames d'une vie de labeurs, Tel un don de l'âme, on travaille son sort, Car on a la rame, c'est la première erreur. Manoeuvrer carrière, assurer sa famille, Savoir gérer ses pions, organiser son temps, L'art et la manière de fructifier...
Voici Paris qui jouent les amants de la cour Voire marier de mes clous les autres de ma tour Où s'offrent bouts de choux pour parier troubadour Et souffrent l'âme saoule à vivre sans humour Le corps de la mère n'étaient que pour en faire Des enfants ayant...
Passent le temps si vil, méchant et futile, Nos amours tant civil soignant volubiles, L'ignorance en ville pour sortir la bille. Sauvons nous ces piles face à l'an deux-mille ? Où trouver l'énergie dans cette synergie ? Je sème l'allergie d'Anis jusqu'à...
J 'ai du vous obéir pour arrêter vos cris, J'ai nié à vous haïr et à travers l'écrit, De futur à venir quand le destin s'écrie... "On a fait que trahir nous disait le sanskrit" J'ai fais face au pire de croire en l'incompris, D'avoir fait que rire, voire...
Elles sont venues le datant, ces revues du présent Car à en dire autant, s'achève tout les ans Liberté en luttant, l'humain nous est laisant, Jouons nous la mi-temps ? Tous en guerre à seize ans!
L'amour de mes amis est ce qui m'anime Ils m'aident quand la girouette tourne à tout vents Cerveau perdu dans la hauteur de nos cime Quand ma raison joue à la folie trop souvent
Par delà le réel prime le monde esprits, Tu sais que c'est elle, la vie sur ce mépris, Prônant l'universel des étoiles éprisent, A l'Humain qu'appelle pour que peuples grisent. ..
L e réveil de l'Humain sur la réalité, Merveilles cousus-mains par la dualité : Mal et bien s'opposant depuis l'antiquité, Valait bien être osant, m'apprit divinité. Me croyez pas certain à toutes vérité, M'y virez en crétin vers tout l'infinité
Je t'ai aimé aux premières notes jouées Je n'étais pas en âges de te flairer Puis on s'est retrouvé après plusieurs année Autour d'une table, il t'ont apprise à ramer Éprise pour qui pour quoi ? tu as continué...
Seul la rue de ce lieu me paraît éclairée, Ni voitures garées, ni de volets ouverts, Des hiboux égarées se mettent à couvert Je me rassure au mieux, parfums de nuits blairés
Viens à la vie, mais pour que la vie me suive. Le présent comme une punition divine, Je tiens à ma vie, qui en est préventive... ...D'avoir traduit son fils pour sa féminine.
Enchaîné à la victoire en naissant Toujours déçu si traînassant Mais point levé est jouissant Adrénaline nous rends puissant
Je pose des proses qui riment Je rame et ça c'est infime Je t'aime et c'est pas de la frime Je parle je pense, ça c'est un crime . . .
Le vent errode montagnes de souvenirs Le temps file aux envies de te voir revenir De l'enfance insouciante jusqu'aux devenirs Je te hurle : " Au secour ", le pire est à venir
Je me présente, pour rendre hommage, car je pressens un drôle de carnage Mon présent, c'est le chômage, Je suis le fainéant qui rêve de vivre en cage Oppressante, la vie de ramage, tout en payant celle de plumage Votre présent fait l'étalage de ce qu'on...
A force de prendre ma vie comme une chochotte, J'ai des problème pour tenir ma culotte. Je te laisse passer pour que je décallotte, Quand pour me séduire, me parler, tu chuchottes...
Refrain : On est des cons On en est fier Mais on sait qu'on est bon Aux sons de nos prières De l'alcool et du sexe Même s'il faut tuer son ex La vie n'est toujours pas La meilleur arme que l'on a
Je remercies la vie de me laisser finir Celle que l'on envie à force d'y venir Mais elle me dévie me donne l'avenir Pour donner son avis, ou pour me faire fuir
Un élan de tendresse Pour qu'entre nous se dressent Une émotion sans cesses Belles délicatesses À l'attention de l'envie À l'écoute de ton avis Chantant avec toi ravis De ce que donne la vie Tant que l'on a à vivre Ce partage qui enivre Un amour qui délivre...
Un souvenir d'outre tombe Soudain sombre devenir Un empire qui sonde Et ce dédain qui s'en tir Jamais tu n'oubliras ces énormités Qu'on te dit que je ment, que la pécka tremble Quand mon heure viendra, aurais-je profité De touts ces bons moments partagés...
À savourer, tu dévis Tranquillement. S'évade, s'arrache, ça vit L'éclatements. Qui nous vache l'avis Et l'âme ment.
Papier blanc tel mes manques de mots Telement je suis pas beau face à mes maux Je parts à parier que c'est peut etre ça Parer à vous parler malgré que tu te fianças Passent les années nous veillons les cas D'un futur qui me vaille d'un voile délicat
Merde ! M'en revoilà de ces vies aux delà J'en reviens toujours pas de n'en être que là Blasé de ces émois qui me font gros bêta Provocation de foi violet comme un lilas